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A Quiet Flame (2008)

by Philip Kerr(Favorite Author)

4.07 of 5 Votes: 5

ISBN

1847243576 (ISBN13: 9781847243577)

languge

English

genre

History & Biography

publisher

Quercus Books

series

Bernard Gunther

review 1: "All Germans carry an image of Adolf Hitler inside them...Even the ones like me, who hated Hitler and everything he stood for. This face with its tousled hair and postage-stamp mustache haunts us all now and forevermore and, like a quiet flame that can never be extinguished, burns itself into our souls. The Nazis used to talk of a thousand-year empire. But sometimes I think that because of what we did, the name of Germany and the Germans will live in infamy for a thousand years. That it will take the rest of the world a thousand years to forget. Certainly if I live to be a thousand years old, I'll never forget some of the things I saw. And some of the things I did." Page 321, Bernie Gunther in a paragraph
review 2: Je viens de découvrir un auteur qui cadre ex... moreactement dans le type de lecture de divertissement que j'appréhende. Vif, drôle, cynique, truffé de comparaisons particulièrement originales et de sourires en coin. Faut le faire dans un contexte de 2ème guerre mondiale, d'antisémitisme, de pédophilie, d'avortements et de meurtres. Kerr installe son roman sur deux tableaux. Celui de Berlin 1932 avant l'élection d'Hitler, mais pendant la montée d'extrême droite en Allemagne. Celui de Buenos Aires 1950 terre d'accueil des SS hauts gradés. Kerr enquête sur le meurtre d'une jeune allemande lorsqu'il était à Berlin. L'histoire nous le ramène en Argentine où il doit encore résoudre le meurtre d'une jeune, argentine, cette fois. Maigre comme résumé, j'en conviens. Résumé qui ne donne certainement pas le goût de lire Douce flamme. C'est voulu parce qu'en dévoilé plus, c'est mettre à jour toutes les ficelles de ce grand auteur que je ne connaissais pas. En plongeant dans l'avant Hitler, on saisit le malaise et la difficulté des non-nazis à continuer à vivre dans leur indépendance même pour ceux qui n'étaient pas juifs. On saisit bien la décadence de Berlin à la fin de la République de Weimar. En se retrouvant en plein coeur du règne de Peron, on découvre un personnage ignoble, antisémite et avide de fric. Bref, on sourit, on apprend, on tourne les pages aussi vite que le vent peut les tourner, on termine en lisant les notes de l'auteur et on tombe sur le cul. Brillant. less

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